Le Petit avion de papier
de Wilma Al Ahmar (Liban)
« Ma production artistique illustre le moment où le petit avion de papier étire ses plis et repart à l’assaut du ciel. En arrière-plan, un paysage de coucher de soleil baigne la scène de lumière chaude, tandis que la machine à écrire de l’imprimerie rappelle les origines de la feuille. »
Le Petit avion de papier
de Amenda Azar (Liban)
« Dans ma composition, j’ai utilisé le collage et la peinture pour donner vie à une feuille de papier devenue avion, fixée sur le support et enrichie de textures variées. Autour d’elle, plusieurs fils tendus évoquent les contraintes invisibles qui l’empêchent de s’envoler librement. »
Voyage imaginaire
Oeuvre collective (Liban)
de Léa Amine, Rama-Mia Yassine, Ella Lahoud et Yasmina Faraj
« Pour cette œuvre, nous avons choisi de mélanger peinture et collage afin de créer un univers à la fois rêveur et dynamique. La toile a d’abord été peinte pour représenter un ciel propice à l’envol, un espace de liberté et d’imagination.
Sur cette toile, nous avons collé un avion de papier, symbole d’évasion et de rêves d’enfants. Cet avion n’est pas ordinaire : il est décoré de glaces, de musique, de montagnes, de pizza et de nombreux autres motifs représentant les plaisirs, les envies et les paysages que l’on peut imaginer lorsqu’on s’évade par la pensée.
À ses côtés, un cerf-volant joliment décoré s’élève lui aussi. Il est relié par une ficelle ornée de papillons colorés, qui symbolise le lien entre le monde réel et l’imaginaire, entre ce qui nous attache et ce qui nous fait rêver.
À travers cette création, nous avons voulu représenter la légèreté, la créativité, et la liberté d’inventer notre propre voyage, simplement avec une feuille de papier… et beaucoup de fantaisie. »
Le Petit avion de papier
de Stéphanie Tohme (Liban)
« J’ai représenté une feuille de papier devenue avion, lancée dans les airs après avoir quitté l’imprimerie. Autour d’elle flottent un cerf-volant, un parapluie et d’autres feuilles emportées par le vent, symbolisant la liberté et l’aventure qui l’attendent. »
Bleu comme le ciel
de May Osseiran (Liban)
« Dans ce projet, nous avons choisi d’explorer le thème du ciel à travers la couleur bleue. Nous avons peint une toile en bleu, représentant un ciel calme et infini. Sur ce fond apaisant, nous avons dessiné deux avions de papier, puis nous les avons peints eux aussi en bleu.
Le choix d’utiliser une seule couleur pour l’ensemble de l’œuvre crée une harmonie visuelle et une atmosphère de douceur. Les avions se fondent dans le ciel, comme s’ils faisaient partie de l’air lui-même, dans un voyage silencieux et poétique.
Cette œuvre joue sur la simplicité, la légèreté et l’unité : elle évoque la paix, la liberté, et la discrétion des idées qui s’envolent doucement. »
Le Monde à l'envers
Oeuvre collective (Liban)
de Joya Yammine, Tia Maria Arakilo, Angélina Ajaka et Kate Matta
« Cette peinture met en scène un paysage à la fois naturel et imaginaire. Sur une large étendue de verdure, nous avons dessiné un avion de papier et un cerf-volant, posés ou évoluant près du sol. À côté, un petit lac scintille sous les rayons du soleil, apportant douceur et sérénité à la composition.
Mais un détail surprenant attire le regard : les arbres sont dessinés dans le ciel, comme s’ils flottaient ou volaient librement, inversant l’ordre habituel du monde. Ce choix artistique volontaire donne à l’œuvre une dimension fantastique, où la nature elle-même semble libérée de ses contraintes.
En jouant sur cette inversion entre ciel et terre, l’œuvre invite à rêver, à imaginer d’autres mondes possibles où les objets, comme les idées, peuvent s’envoler librement. L’avion de papier et le cerf-volant deviennent alors les symboles de cette liberté poétique. »
Le Petit avion de papier
de Sophia Maria Nassif (Liban)
« Ma production numérique illustre le rêve audacieux d’une feuille de papier devenue avion, prête à s’envoler malgré les dangers. L’avion traverse un ciel noir, symbole des obstacles à surmonter. Autour de lui tourbillonnent un cerf-volant et d’autres papiers emportés par les vents. Pour renforcer la tension de la scène, j’ai représenté une mer agitée sous ce ciel menaçant. »